samedi 29 novembre 2014

       


                             interview exclusive  d'un pro du Bassmaster de la team
                             Livingston Lure    :  Byron Velvick

                           


            Nassa: Bonjour,,pourriez -vous ,vous présenter en quelques mots?
            Byron: je m'appelle Byron Velvick  je pêche depuis mes 13 ans et je participe aux tournois                               majeur depuis plus de vingt ans.

             Nassa: Comment préparez-vous vos tournois de pêche professionnel?
             Byron: J’étudie la météo ,les conditions  sur le lac  (reliefs ,structures etc) ,les modèles de                                 leurres utilisés de la saison lors des précèdent tournoi et bien-sur  ceux utilise par les
                          locaux
           
              Nassa: Au cours d'un tournoi professionnel collaborez-vous avec d'autres pêcheurs pro?Si                              oui ,lesquels?
              Byron:Oui ,je travaille avec Ish Monroe,Skeet Reese et Rick Clunn.

               Nassa: Lorsque vous attaquez une compétition avec une stratégie  et que soudain les                                           conditions météorologiques changent ,avez -vous un plan de secours?
               Byron:Tout le temps!Le meilleur de la pêche vient souvent avec ce que vous avez trouvé                                  pendant la compétition.
     
               Nassa: Pensez-vous que les pêcheurs professionnels  d'aujourd'hui sont aussi bon,sinon                                   meilleurs que ceux d'avant l’ère 2000?
               Byron: Aujourd'hui la technologie offre des années lumière  d'avance aux pros et donc les                                rends meilleurs.

               Nassa: Que pensez -vous du circuit professionnel aujourd’hui ?
               Byron:Qu'il est bien rodé et tout est organisé à la perfection car ce sont des professionnels                              qui se chargent de tout.

                Nassa: Si vous étiez en charge des tournois Pro changeriez -vous quelques choses?
                Byron :Non je laisserai tels quels ,mais j'augmenterai les gains.

                Nassa: Quels serait votre rêve dans le circuit Pro Elite ?
                Byron: Gagner le Basmaster Classic et l' AOY.
       
                Nassa: Etes-vous familier des compétitions en Europe?
                Byron:Oui je fus invité par le consulat Espagnol et j’étais le Capitaine de l’équipe                                             Américaine pour l 'Euro-Cup  .j ai également péché en Italie et au Japon.
         
                Nassa: Souhaiteriez-vous participer à nouveau a un tournoi Européen?
                Byron: Avec plaisir.

                Nassa :Quels sont vos occupations en dehors  du circuit?
                Byron:je pratique le VTT,le tennis , ,je m’entraîne en salle de sport et je joue aux poker.

                Nassa: Y a t-il quelqu'un qui en dehors de la pêche vous aide dans l 'organisation de votre                              circuit ?
                Byron: non ,je m'organise seul.

                Nassa: Avez vous des secrets pour la pêche du black-bass  que vous ne dévoilerez à                                          personne ?
                Byron:absolument.

                Nassa: Combien de jours et de kilomètres  faites-vous par an pour le circuit professionnel?
                Byron:je pratique environ 180 jours par an et je fais environ 50 k miles par an .
             
                Nassa: Quels conseils donneriez vous à un pécheur pour devenir professionnel?
                Byron:Restez concentré ,ne pensez pas à l'événement ,focalisez -vous à la recherche de                                   poissons pendant la compétition  .N'insistez pas sur vos bons et mauvais jours.

                Nassa: Est-il difficile de trouver des sponsors pour les Pro?
                Byron:Oui ça l'est beaucoup plus que les années précédentes  car il y a  de plus en plus de                              concurrences ..

                Nassa: Merci beaucoup de la part des pécheurs Français.

               

             





vendredi 27 décembre 2013

Interview exclusive avec Cliff Pace vainqueur du Bassmaster 2013

Interview exclusive avec une légende de la pêche au Bass aux États-Unis
Cliff Pace  


Nassa : Peux-tu te présenter ?
Cliff : Mon nom est Cliff pace. J’ai 33ans. J’ai gagné le Bassmaster Classic en 2013.

Nassa: Comment prépares tu tes tournois?
Cliff : Je passe énormément de temps à organiser ma boîte, mais si je peux je me rends sur les lieux et passe du temps à regarder l’eau.

Nassa: Sur le circuit il y a t-il des groupes de compétiteurs qui travaillent ensemble et partage leurs informations? Si oui en fait tu partie?
Cliff : Certains pêcheurs travaillent ensemble et d’autre préfère travailler seul.

Nassa : Avant un concours, as-tu une stratégie ou plusieurs qui te permettrais de changer en fonction des conditions ou fais-tu à l’instinct ?
Cliff : Pas particulièrement mais il faut pouvoir s’adapter à n’importe quelle changement de condition. Pour moi c’est la chose la plus importante.

Nassa : Quels est ton sentiment et ton ressenti sur le circuit (est-ce une grande famille, ou tout le monde est seul) ?
Cliff : La plupart d'entre nous ont quelques amis sur le circuit avec qui nous aimons passer du temps.

Nassa : Quel est ton rêve ?
Cliff : Mon rêve est de faire ce que je fais actuellement. J'ai été béni. Et j’aimerai également pouvoir pêcher partout mais malheureusement je n’ai plus le temps.

Nassa : Sais-tu qu’il existe des tournois Black Bass en Europe ?
Cliff : Oui j’en ai entendu parlé et je les suit à distance.


Nassa : En dehors de la compétition as-tu déjà rencontré un pêcheur qui t’a appris quelque chose sur la pêche du Bass ?
Cliff : J'ai beaucoup appris de non pêcheurs dans ma vie. La plus importante est l'éthique du travail. Tous les gens qui réussissent ont une forte éthique de travail.

Nassa : Quel est le plus gros défaut en compétition?
Cliff : Mon plus grand défaut est d’être têtu.

Nassa : Que penserais-tu et que dirais-tu à un étranger qui voudrait faire le circuit Bass ?
Cliff : Pour quelqu’un qui veut devenir pêcheur pro, il y a énormément de boulot. IL y a une grande différence entre la pêche et la pêche en compétition.

Nassa : Merci d’avoir répondu à toutes ces questions et avoir donné un peu de ton temps.


Pour plus d’informations aller visiter son site sur http://www.carnassud.com/


mercredi 3 juillet 2013

Interview exclusive avec une légende de la pêche au Bass aux États-Unis Bernie Schultz

Interview exclusive avec une légende de la pêche au Bass aux États-Unis
Bernie Schultz  



Nassa : peux-tu te présenter ?
Bernie : mon nom est Bernie Schultz et je fais de la compétition de pêche depuis plus de 25 ans. En ce moment, je pratique dans le circuit « BASS Elite Series ». Le circuit commence en mars avec les deux premiers tournois en Floride. J’ai hâte d’y être !
Nassa : comment prépares-tu tes tournois ?
Bernie : dans l’attente de mon nouveau bateau, je prépare mes boites de leurres, je fais les réservations d’hôtel et je cherche le maximum d’informations sur les nombreux lacs où je vais concourir cette saison.
Nassa : sur le circuit il ya t-il des groupes de compétiteurs qui travaillent ensemble et partage leurs informations ? Si oui en fait tu partie ?
Bernie : oui c’est le cas, et j’en fais partie. Mais je partage mes informations qu’avec un cercle d’amis fermé… des gens sûr.
Nassa : avant un concours, as-tu une stratégie ou plusieurs qui te permettrais de changer en fonction des conditions ou fais-tu à l’instinct ?
Bernie : si je trouve une grosse concentration de poisson, je pense que cela restera ainsi. Mais il est très rare que ça arrive, toute fois s’essaie de garder mon esprit ouvert. Prendre les bonnes décisions est très important dans un tournoi et si je devais changer cela dépendrait seulement de mon expérience et de mon instinct.
Nassa : comment trouves-tu le niveau de pêche des compétiteurs en comparaison de celui des années 90 ?
Bernie : je pense que la compétition est toujours en mouvement et je dois m’améliorer sans cesse ou me faire battre. Il est très important de garder son esprit ouvert afin d’en apprendre le plus possible… de nouveaux leurres et de nouvelles techniques sont très importants.
Nassa : quels est ton sentiment et ton ressenti sur le circuit (est-ce une grande famille, ou tout le monde est seul) ?
Bernie : par moment c’est une grande famille mais la plupart du temps on se sent seul…spécialement quand rien ne va.
Nassa : si tu étais le responsable du circuit changerais-tu quelque chose ?
Bernie : Non, je ne ferai des changements que quand j’y serai obligé. Je veux être cohérent.
Nassa : Quel est ton rêve ?
Bernie : je rêverai de gagner un tournois BASS Elite Series. Ma dernière victoire remonte à très longtemps.
Nassa : sais-tu qu’il existe des tournois Black Bass en Europe ?
Bernie : oui, j’ai terminé 4ième du tournois européen de Caspe Bass sur le lac Caspe en Espagne ce fut un agréable moment et je pense y retourner pour une nouvelle tentative.
Nassa : quelle est ta passion en dehors de la pêche ?
Bernie : je suis passionné par les vieux leurres de collection, la pêche marine, le surf et regarder mes 2 enfants faire du sport, voila les choses que j’aime.
Nassa : en dehors de la compétition as-tu déjà rencontré un pêcheur qui t’a appris quelque chose sur la pêche du Bass ?
Bernie : j’ai eu beaucoup de professeurs il y a quelques années. J’essaie toujours d’apprendre de quelqu’un en péchant avec lui. Mais j’ai déjà acquit de nombreuses leçons au cours de ma propre expérience. Je pense que c’est très important d’essayer et d’apprendre de nouvelles techniques. La pêche change constamment. Pour être performant, on doit s’adapter.
Nassa : es-tu déjà allé pêcher à l’étranger ? Quels poissons recherchais-tu ?
Bernie : j’ai déjà pêché au canada au japon au Mexique en Espagne et aux Caraïbes. J’aime pêcher de nombreuses espèces mais ma préférence est pour les  tarpons, le bonefish, le permit et le snook.
Nassa : Penses-tu qu’il y a quelques secrets sur la pêche au Bass ?
Bernie : il y a énormément de secrets sur la pêche au Bass. Quelques un sont connus et d’autres non. C’est pourquoi j’essaie d’apprendre de tous ceux avec qui je pêche .chaque pêcheurs à une approche différente. Je veux apprendre d’eux alors deviendrai meilleur.
Nassa : quel est le plus gros défaut en compétition?
Bernie : quelques fois c’est de partir trop tôt d’un poste. Lorsque vous trouvez des poissons, c’est d’être patient. D’autre fois, c’est de rester trop longtemps sur un poste. Il y a beaucoup de situations et c’est pourquoi, la décision du pêcher est très importante dans le tournoi, quand partir quand rester, et les meilleurs compétiteurs le savent.
Nassa : combien de temps et de kilomètres dépenses-tu pendant ta saison ?
Bernie : je fais plus de 32000 kilomètres. L’année dernière j’ai conduit de Floride à la Californie  pour mes 2 premiers tournois cela ma pris 4 jours.
Bernie : le tournoi BASS Elite Series commence début printemps et se termine fin été cependant je fais d’autres tournois. Pendant l’arrière saison je regarde mes enfants faire du sport.
Nassa : Que penserais-tu et que dirais-tu à un étranger qui voudrait faire le circuit Bass ?
Bernie : de nouveau compétiteurs sont très important ils nous aideront à grandir notre sport
Nassa : est-il difficile de trouver des sponsors pour un pêcheur américain ?
Bernie : oui car l’économie américaine était faible dernièrement trouver un sponsor est très difficile. J’ai la chance dans avoir un grand qui me supporte. Mes sponsors sont Rapala, Ranger Boat, Mercury Marine, Shimano, Yamamoto, Hildebrant, et Legacy Outdoor Products.
Nassa : quel est le budget pour un seul tournoi sachant que tu es en Floride
Bernie : c’est très cher, pour le circuit Bass il faut compter $5000 et pour la FLW il faut compter $4000.
Nassa : merci d’avoir répondu à toutes ces questions et avoir donné un peu de ton temps.

Pour plus d’informations aller visiter son site sur www.bernieschultzfishing.com




                            












mardi 4 juin 2013

James Heddon est sans conteste le créateur du premier leurre dur de (surface), il faut le préciser, nous le verrons par la suite, apiculteur de métier et premier producteur mondial de miel, il fut aussi politicien et participait dans l’édition de journaux. Sa première création se passa aux alentours des années 1890 et c’est son observation qui va sans qu’il le sache transformer sa vie. C’est au bord de l’étang Dowagiac en attendant un ami pour une partie de pêche au bouchon qu’il assista à une scène.  Par les vibrations de son bouchon sur l’eau qu’il vit un black-bass s’attaquer à ce dernier. Il eut d’abord l’idée avec des bouchons de bouteille en rajoutant des hameçons qu’il eut des résultats  satisfaisant il distribua quelques modèles à ses amis et il perfectionna son idée avec des morceaux de manche à balai à cette époque il ne se doutait pas qu’il venait  d’inventer l’histoire des leurres et se fut qu’en 1902 avec ses deux fils qu’ils fondèrent la compagnie Heddon où le premier leurre artificiel fut fabriqué et vendu. A des milliers de kilomètres de là, en Finlande pour être précis qu’un autre génie de l’observation opérait, Rapala Lauri que l’on ne présente plus qui pour nourrir sa famille en premier lieux et ensuite vendre ses prises sculpta sur un bout de balsa un autre leurre dur qui n’est autre qu’un Minnow. Vous me direz. Elle est où l’invention on y vient, Lauri s’était rendu compte dans les eaux cristallines lorsqu’il regarda les salmonidés en chasse sur des proies que c’est dernier s’attaquaient plus facilement sur des petits poissons à la nagent plus  sporadiques dû surement à une mauvaise santé et il s’est concentré sur cette idée pour enfin inventer la bavette sous les leurres qui non seulement plongeaient le leurre sous la surface mais surtout désaxaient sa nage et donnaient une nage frénétique. Voici comment Heddon avec le leurre de surface et Rapala avec un leurre plongeant naquirent les plus grandes innovations des leurres durs. C’est grandes marques de leurre sont toujours en activité
Ce n’est que beaucoup plus tard dans l’histoire et par ces inventions que l’intérêt et les connaissances ont explosé avec tout le matériel nécessaire pour la pêche (canne moulinet fil etc.). Cette grande concentration d’innovation sans cesse renouvelée que la course aux produits se poursuivis dans les années 1950 les collectionneurs n’existaient pas à cette époque  et dans les années 1970 ils  étaient très rare. Les quelques-uns qui existaient  se connaissaient peu. Ce n’est en 1976 toutefois que trois collectionneurs formèrent un club (la NFLCC) National Fishing Lure Collector Club, une organisation qui compte à la fin du 20 siècles plus de 3000 membres ne cesse d’avoir de plus en plus d’adeptes. Bien que qu’elle fût fondée pour attirer les collectionneurs de leurre dur, elle attira aussi des collectionneurs de tout type de pêche, qui la rendirent plus populaire. Par la suite, le marché a subit quelques changements tant en nombres de collectionneurs  que sur les prix des objets de collections vendus. Heureusement, grâce aux anciens cette inflation sur la hausse des prix des produits comme on a pu le voir dans le domaine de la chasse sur les appelants en bois n’a pas suivi toutefois, il y a eu dans les années 90 des collectionneurs qui  réalisèrent des gains considérables avec la vente de leurre qui détrônèrent la chronique pour la somme de 20000 dollars mais cela resta très rare. Les ventes relativement élevées au alentour de 1500 à 2500 dollars était plutôt pour les moulins et ou des cannes. Toutefois, il reste quand même quelques leurres dont le prix reste élevé du fait de leur rareté ou faisant parti de série limite. Après ces découvertes et l aspect lucratif que cela pouvait rapporter une multitude de compagnies virent le jour. Certaines sont devenues prestigieuses, d’autres n’eurent la création que de quelques modèles, voire d’un seul. Mais c’est autour de l’état de Floride que certains fabricants perdurèrent grâce à de forte densité de black-bass. Voici quelques cliches de vieux leurres tels que le Dowajiac de chez Heddon et les Barracuda de chez Eger.

        















  « Leurres Eger »



« Collection personnelle de Bernie Schultz »

    
 « Le Fameux Dowagiac »

 Il eut quelques marques qui ne vous diront rien tel que Paw Paw Bait co. Shurkatch etc. et  d’autres au contraire tels que Shakespeare, Pflueger, Creek Chub et bien d’autres aiguiseront votre curiosité à  chercher de vieux leurres au travers de livres, d’internet etc. Voici quelques références pour vous guider sur les prix, l’année, le nombre de production, le fabricant, le lieu de fabrication etc. et malheureusement comment reconnaitre les faux des vrais. Les livres recommandaient sont : Old Fishing Lure and Tackle par Russel E. et South Bend Collection… Vous avez des sites internet tels que Antique Lure Price et Joe’s old lures et enfin il existe des livres de ventes ou quelques pages sont régulièrement mises en ligne comme Vintage Lure.
Malheureusement, du côté de l’Europe mes recherches n’ont pas abouti à grand chose. Bonne recherche….



« Quelques livres de référence »







mardi 21 mai 2013






Maui Jim est une marque de lunettes de soleil polarisée de qualité, les prix se situe entre 130 et 260 euros, précurseur du polarisé dans les années 80 Maui Jim c est :
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Fort de ces  racines Hawaïennes , c’ est  aujourd ‘hui une compagnie internationale, basée à Peoria dans L’Illinois, ses produits sont distribués  en Amérique , en Europe , en Australie ,aux émirats arabes unis et en Inde avec des centres logistiques et SAV dans de nombreux pays pour un meilleur service.
Les lunettes Maui Jim offre une protection contre les  UVA  USB  UVC jusqu’ a 400 nanomètre, norme Europe, catégorie 2 et 3 polarisée.
C est une lunette pour une clientèle exigeante recherchant un produit efficace en matière de protection solaire, confortable et solides, avec une gamme pour tous les styles classiques, conventionnels, chics ou sport.
Le filtre des optiques polarisée Maui Jim bloque  99,9 % des réverbérations, il est recommandé en cas de DMLA,  de cataracte ou après une chirurgie laser,  il protège vos yeux de l’ophtalmie qui est une brûlure de l œil due a la réverbération  du soleil.
le verre polarisé, supprime les éblouissements dues à la réverbération du soleil sur des surfaces réfléchissantes comme l eau la neige un pare brise ou encore le métal mais tout les verre polarisés n’offrent pas la même polarisation  tout en gardant  une bonne intensité de lumière  et cela seul Maui Jim vous l’offre.
Sans les éblouissements et une trop forte luminosité, la fatigue  visuelle est considérablement réduite, on a l impression de mettre sa vue au repos quand on porte une Maui Jim.
Le contraste est  amélioré,
c est en gérant la quantité de lumière bleu filtrée par le verre qu’ on obtient une meilleure  définition des contours et une vision plus net, on y gagne également en profondeur de champs , à faible tirant d’ eaux la perception du fond et plus nette.
Le effet miroir argenté  bi dégrade en face avant, atténue la luminosité, cela évite le plissement des yeux, cette technique fut inventé par la marque de lunette pour le ski  Vuarnet
un traitement d’anti reflet interne sur le verre pour éviter  tout désagrément lorsque le soleil est dans votre dos
Le Verre en poly -carbonates est avantageux pour sa  légèreté, il est aussi incassable  et son prix reste modéré. Le verre  organique 1.6  évolution de très  bonne qualité  est souvent utilise pour les verres correcteurs, c est un verre solide et léger 
Le verre minéral  est plus  résistant aux rayures , c est l’une des meilleures qualités optiques, le poids est un peu plus élevé , mais en mer cela a son  avantage ainsi qu’ une très bonne tenue des traitements   même après exposition à l’eau salée .
Traitement Clearshell       C’est un traitement durcisseur applique sur le polycarbonate évolution qui facilite l’entretient et améliore la  tenue des traitements de protection contre les rayures.
Les montures  souvent galbées, sont en métal ou d’un autre alliage comme le titane ou le métal flexible, en  acétates, en   injectées, ou  verres percées.
Souvent équipées de plaquettes et embouts de branches en silicones, les  charnières Flex sont des
Charnières à  ressorts  qui aident  la monture à rester en place en  autours de la tête pour cela il suffit de resserrer les branches,  les patins en silicones au niveau du nez limitent la transpiration.
 Grâce à son traitement spécifique unique, le verre Maui Jim Vous permettent  de mieux voir les couleurs, elles sont plus vives plus brillantes .Faites l’expérience Maui Jim est Découvrez un monde de couleurs. La plupart  des montures peuvent être équipée   en verres solaires à la vue, en simple foyer ou en progressif de dernière génération, fabriquée aux États Unis dans un délais de 10 jours.
Il existe également des montures solaire appelées  Reader , elles sont équipées d une loupe de lecture dans le bas du verre, montées en bifocale , pour voire de près,.c est très pratique pour lire ou pour réaliser les montages, le  tout en ayant toujours une protection solaire polarisée .
4coloris de verre :
Gris pour fort ensoleillement
Rose ensoleillement faible moyen et fort
Bronze ensoleillement faible moyen et fort
HT faible ensoleillement

Le verre haute transmission HT , de catégorie deux est très apprécie par les moucheurs, les golfeurs ou encore pour la conduite les jours gris, il augmente le contraste et protège de la polarisation de la lumière même par faible ensoleillement
 il a l’avantage d être clair et peu occultant , ce qui est un atout en début et fin de journée ou dans des eaux peux  claire ou un peu saumâtre ..
Maui Jim offre Une vaste collection pour tous les types de visages, mais aussi pour Madame qui trouvera son bonheur dans une collection féminine.
Maui Jim est une marque Life style offrant un large choix de montures quelques soit vos goûts vos besoins ou votre activité nous avons la monture adaptée.
La marque en France est essentiellement distribuée  par les réseaux des opticiens,  elle offre également un excellent service après vente
En quelques mots heureux les ignorants qui pensent que toute les marques de polarisantes se valent on en viendrait à ne pas comprendre pourquoi certaines détiennent des brevets  ou sont plus chères  .mais comme tout produit de qualité le prix est justifié et le besoin recherché est comblé .Allez chez un opticien essayez les vous comprendrez  .Par ce petit article explicatif merci Mr Gallois je vous invite à allez voir les sites  MAUI Jim   USA et France  les explications et les images parlent d’elles mêmes. http://www.mauijim.com/ ethttp://www.mauijim.com/?websitec=france
À bientôt sur mauijim.com Mahalo.